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Film streaming Malgré-elles 1280

Secrets de tournage

Cherche une réalisatrice

Le projet ELLES a commencé avec la productrice Marianne Slot et la scénariste Tine Byrckel, qui cherchaient à produire un film sur les jeunes filles contraintes à se prostituer afin de payer pour leurs études. L'idée était de réfléchir sur le sujet sans fournir un jugement. C'est après avoir regardé le long-métrage 33 scènes de la vie, réalisé par Malgoska Szumowska, que les deux femmes ont décidé d'inviter la jeune cinéaste à réaliser le film.

Virginia Woolf et les femmes au quotidien

La romancière et féministe britannique Virginia Woolf a été une source d'inspiration déterminante pour la scénariste d'ELLES, grâce à une description pointue de la condition des femmes dépeinte par l'auteure dans Mrs. Dalloway. Tine Byrckel a en effet beaucoup puisé dans ce portrait centré sur le parcours d'une femme suivie sans arrêt, dans ses actions les plus banales.

Pour la construction du scénario, des enquêtes ont été menées en France et en Pologne auprès de jeunes filles s'étant volontairement lancées dans la prostitution. Le résultat a choqué la réalisatrice et la scénariste, ces dernières ayant davantage trouvé, dans ces recherches, des femmes prenant du plaisir à avoir des rapports sexuels pour de l'argent, plutôt que de "simples" victimes. Tine Byrckel et Malgoska Szumowska ont ainsi décidé d'éviter l. Lire plus

10 Secrets de tournage

Dernières news

NEWS - Box Office

Interdit aux moins de 12 ans. Je rêve. "Bientôt du snuff projeté dans les maternelles". Je ne suis pas un censeur par principe mais protégeons nos enfants bon sang, tant que c'est encore possible. Le sujet parle, certes, mais ce genre de productions, pour moi, c'est interdit aux - 16 ans. /

J'allais voir The Descendants. Manque de chance, je suis arrivée trop tard, la séance avait déjà commencé, je me suis donc rabattue sur Elles (a noté que le harcèlement publicitaire du métro parisien doit sûrement y être pour quelque chose. ). L'erreur.
Film sans fil rouge, qui ne raconte rien. "What's the point?". Des longueurs à n'en plus finir, des fausses joies (vous savez, ces moments où l'on pense avec soulagement que le film est terminé et oh. ben non !). Le film traite d'un sujet très à la mode mais qu'M6 gère mieux à travers ses documentaires du dimanche soir.
Des prises de vues pénibles et des scènes sans intérêt. Notamment celle où Juliette Binoche se touche le sein, on pressent qu'elle trouve une grosseur lui faisant penser à une tumeur. On n'en saura jamais rien. On ne revient jamais dessus. Encors une scène qui aura pu être coupée au montage.
Je salue quand même la prestation de Juliette Binoche qui reste une très bonne actrice et qui a sûrement contribué au fait que je ne sorte pas de la salle avant la fin. Elle a un grand talent, mais cela ne suffit pas à faire de ce film un bon film.

Je vous trouve un peu dure avec ce film qui, je trouve, traite assez bien en filigrane la problématique libidinale ou Freudienne du dilemne. " mère ou P. ". tant du côté des hommes que du coté des femmes (ici interprétée par Juliette) épatante en bobo coincée et frustrée qui envie cette libération des pulsions impossibles à vivre ou très difficiles quand on est cloisonnée dans le statut de mère et seulement mère. Je trouve ce film très humaniste au contraire et intimiste. si les hommes et les femmes ne s'y retrouvent pas. c'est que je n'ai compris au film. de la vie.

voir binoche bouffer des pâtes et s'en foutre partout, navrant.

Bonjour, quelqu'un sait quelle est la musique classique hyper connue qu'elle met dans son salon. (il y a les variations Goldberg au début, au piano, mais celle avec un orchestre ?)

Un film que je qualifierai de « film d’auteur français à la française dans le monde merveilleux d’ARTE » (la chaîne des animaux, des concerts underground et des hippies tout nus).
… au début je pensais que Juliette Binoche jouait extrêmement mal mais je me suis rendu compte que selon moi c’est son rôle qui est mal écrit. elle court partout on ne comprend pas pourquoi, c’est une journaliste qui fait un reportage sur la prostitution qui est coincé du cul et qui n y est à l’ouest et qui pose des questions à la con de façon naïve, c’est pas réaliste, c’est comme si un journaliste de « Turbo » faisait un reportage sur la nouvelle Ferrari et qui ne connaît rien en voiture et qui sort « et alors elle a quatre roues. … elles sont toutes rouges. »
…Un bon sujet qui aurait pu être beaucoup mieux traité avec des petits détails qui auraient fait beaucoup.
Personnellement, il y a quand même des scènes bien jouées et ce, plus le film se déroule. La scène avec son fils lorsqu’il rentre, la scène avec la polonaise…. Bon ok, il y a des scènes très très fausses, pareil, la scène de plaisir solitaire dans les chiottes, même à Arté on essaye d’habitude de faire un pseudo lien. Je pensais terminer avec une bonne fin car, j ai bien aimé le dîner de fin avec tous les clients)… manque de bol elle s’en va et on croit même qu’elle va peut être faire le trottoir, et puis elle rentre et on passe de « Arte » à la situation finale « ils vécurent heureux avec leur enfants » de « wald disney ».

Malgré elles et leur façon d'appréhender leur vie de prostituée, la couverture est toujours tirée sur une journaliste interprétée par Juliette Binoche. Certes, « Elles » sont le sujet du titre du film. Mais seulement à titre de flashbacks, deux figures-types apparaissent dans la vie de la seule "héroïne" ou sujet du film. une journaliste toujours dérangée par du bruit quand elle est occupée chez elle ; tantôt excédée par la porte de son frigidaire, tantôt dépassée par les délires du fils ado, l'absence de cadre pour un fils cadet et le laisser-aller du mari. Tandis que son mariage bat de l'aile, cet article (sur les étudiantes prostituées) lui offre une aubaine de taille, en lui permettant de se confronter ou de rêvasser sur sa propre libido. Oui, « elles » auront servi au moins à ça (les deux jeunes prostituées). Et, quoique leurs conditions de vie soient parmi les premiers sujets sensibles dans l'actualité du moment, elles passent (réellement) au second plan dans ce film. Leurs vies meublent un plat ciné-roman-photos autour d'une égérie du moment du cinéma français. Sauf peut-être si les prestations nues et crues des acteurs secondaires profitaient (en vrai) à leur carrière, hélas, à l'instar des étudiantes évoquées dans ce film.

Anaîs Demoustier. EXCELLENTE comédienne, très belle prestation au théâtre d'Avignon !
Regret. les metteurs en scène ne pensent qu'à la déshabiller. Certes elle est très jolie, mais elle mérite mieux qu'une fille que l'on fait tourner nue dans le seul but de se rincer l'oeil.
A croire que ces metteurs en scène trouvent des prétextes à les montrer nues, ce qui leur permet peut-être de vivre leurs fantasmes.
J'aime beaucoup Anaîs Demoustier, donc je suis forcément gêné de la découvrir dans de telles situations.
Ces scènes auraient été autrefois, et c'est là tout le talent d'un metteur en scène, suggérées.
Malheureusement toutes les jeunes actrices au physique très avantageux, auxquelles on a attribué le même sort, n'ont pas connu de grandes carrières ciné par la suite ; seul le théâtre ou la télé leur ont réservé de beaux rôles.
Le talent d'Anaîs Demoustier n'est pas en cause.

@Vanessa Barbier. ça doit être ceci. http://www.youtube.com/watch?v.
Du Beethoven, Symphonie 7, mouvement 2, utilisé partout (notamment dans Des hommes et des dieux), mais avant tout dans la magnifique intro de The Fall de Spike Jonze.

Bon sinon, c'est pas si mal comme film, assez intelligemment fait, écrit, et joué. Mais bon, ras le bol, du cliché "bobo j'ai un couple plein de problème" récurrent dans le cinéma français.

Joanna Kuliq excellente. Est elle aussi chanteuse car elle a une superbe voix.

Attention. gros navet

Ce film est un bijoux. Tout y est. les acteurs sont prodigieux. Ils jouent tous parfaitement juste. Le réalisateur retranscrit avec une efficacité redoutable les errements intellectuels de cette journaliste qui se perd dans le désirs de ces hommes sur lesquels elle enquête via les récits des escorts.
J'ai vu un seul film qui retranscrivait avec autant de justesse les errements du désir dans lequel se
perdait, un homme cette fois-ci, il s'agit d' Eyes Wide Shut. Même si la mise en scène n'a rien à voir.

Grosse grosse bouse